Culbutons notre jardin
Culbutons notre jardin
Bernard BLAISE,
athlète du verbe, du fer et du verre,
toujours exigeant à l'extrême avec lui même,
monolithe inébranlable dans ses convictions d'artiste
en quête d'une géométrie implacable malgré
l'apparente fragilité du matériau utilisé,
impose subrepticement sa vision du monde
où s'exprime la poésie des formes abstraites.
Cet univers qui ne doit ni à la facilité, ni à la séduction
exige du spectateur un regard ouvert, attentif et neuf
pour sentir le cœur qui bat à travers ce maillage.
Bernard Londinsky
mardi 28 octobre 2015
alors donc! on va prendre des mesures pour boucher le trou de la Sécu ...
Mais la solution annoncée consistera à creuser les écarts.
On ne bouche pas un trou en creusant, même à la petite cuillère,non , il faut remplir.
Ainsi donc en taxant tous les revenus, en supprimant les planchers et surtout les plafonds , on pourra très vite escalader le sommet.
Mais celui qui a les moyens de s'offrir les toubibs a dépassement d'honoraires a t'il besoin de verser aux caisses de la Sécu ?
Tout comme les couloirs de bus à Paris, quand on en a les moyens de s'offrir un taxi, est-on concerné par les embouteillages ?
dimanche 29 mai 2016
MARE DES FLANS,VIVEMENT UNE CRÈME
çà fait bien longtemps que je ne me suis pas confronté à des Conformes...
les aubépines vont bientôt défleurir...
jeudi 22 juin 2016
je serai bref
LE DÉLINCON EST L'ENNEMI COLIQUE NUMÉRO 1`
il est évident que le dévelopet de cet aphorisme en serait inter-minable.